Soulager les douleurs, je dis OUI ! Qui aurait envie de les garder ? La douleur, un sujet aussi vaste que le nombre d’individus sur terre. Le nombre de personnes dans la douleur est immense, comment considérer celle-ci, pour mieux la gérer et tendre vers un mieux-être.
Soulager : qu’est-ce que ça veut dire ?
La définition du terme soulager revient au fait d’alléger, de délester une embarcation, par association et pour imager, nous pouvons facilement concevoir notre propre corps comme une embarcation. C’est pourquoi dans le langage courant, nous utilisons le terme “soulager” pour désigner et exprimer l’éloignement, l’apaisement ou même la libération des douleurs.
Approches de l’origine du soulagement
- Compréhension
- Orientation
- Cultivation


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Comprendre la douleur
Un mot, une désignation, un sentiment, un ressenti, elle est le résultat de différentes conditions. Elle se manifeste, sous forme de sensation qualifiée de désagréable, d’une intensité plus ou moins forte, d’une durabilité variable dans le temps. Les déclinaisons (accidents, maladies, virales, émotionnelles, sentimentales, psychosomatiques…) des manifestations de la douleur sont immenses et singulières à chaque individu, par contre, grâce à la similitude du fonctionnement de nos systèmes vitaux, les techniques sophrologiques (méthode Caycedo) sont adaptables pour chaque individu.
Prendre soin de la douleur
Pour prendre soin d’une douleur, il est nécessaire de reconnaître celle-ci, il y a celle physiquement facilement reconnaissable et il y a toutes les autres beaucoup plus subtiles rejetées, mises de côté ou ignorées.
S’apaiser ou se libérer de douleurs, en est d’autant plus difficile si l’on ne voit que la douleur physique sans faire de lien interactif ou interdépendant avec le reste de nos systèmes vitaux plus subtils, du fait de notre propre méconnaissance de ces systèmes. La curiosité peut-être un bon moyen de mettre fin à cette ignorance.


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Les techniques sophrologiques pour accompagner la douleur
Le principe d’action positive est le fil conducteur du cheminement vers le soulagement. En sophrologie Caycédienne, nous allons utiliser les interactions du souffle, du mouvement, des sensations, de la force d’intégration, de la résilience visant le bien-être et l’équilibre de la conscience.
Compréhension
Répétition d’exercices pour bien distinguer les liens entre, le schéma corporel, l’attention et les valeurs.
“Il est très facile de se reposer sur ce que l’on croit savoir sur nous-mêmes, en pensant que les choses ne peuvent pas changer. C’est drôle, surtout lorsque l’on se rend compte que tout est en mouvement et que nous changeons à chaque instant, que nous le voulions ou pas.”
Ici, nous pouvons dire que nous avons pris connaissance de notre boussole interne (l’Attention).
Orientation
S’approprier les exercices dans une continuité de répétition comme des entrainements, il génère le début du changement “le nouveau regard”. C’est comme une porte s’ouvrant à la connaissance de ces systèmes, de l’interaction, de la vitalité qui traverse ce corps.
“À partir de ce nouveau regard, il est plus facile d’orienter notre boussole interne.”
Cultivation
La sophrologie devient tout à coup une amie intime, par sa théorie, son emploi et surtout par la pratique. On peut aisément comprendre la traduction “Etude de la Conscience Harmonieuse”. “Les entrainements sont la cultivation de l’Attention nourrie de qualités.”
par Béatrice Jonas, praticienne en sophrologie du réseau Médoucine.
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